P'tit déj'

Invité

La veille de ce onze ou douzième jour de captivité au sein de l'immeuble, Ginny avait passé son temps sur le toit, assise à méditer. Ou plutôt à réflechir et à se calmer mentalement. Pour ce dernier point, aucun souçi, depuis quelques jours, la jeune fille allait beaucoup mieux. Ses nuits d'insomnies devenaient beaucoup moins nombreuses, ses joues avaient repris des couleurs et l'envie farouche de sortir avait remplacé le désespoir. Certes, elle avait toujours une petite pointe d'angoisse, tout au fond d'elle, mais elle se doutait bien que cela devait être de même pour la plupart des personnes ici présentes, hors mis peut-être certains des plus jeunes. Elle avait finit par se reprendre en mains, mais il y avait à peine deux jours, il y avait eut l'affaire de la poupée de porcelaine du hall. Ginny avait eut du mal à dormir le soir de cette journée là, quand même, mais aucun incident ne semblait être apparu. Alors elle se détendit quelque peu.

La veille, donc, Ginny était restée sur le toit, à observer les nuages. Personne n'était venu la déranger. Elle avait passé deux heures à lire un livre, toujours sur le toit, pour se détendre, puis quand l'heure du dîner était venue, la jeune fille était enfin descendue, pour rejoindre les autres au restaurant du rez-de-chaussée. Elle avait mangé avec un groupe de filles plus âgées qu'elle, mais elle n'avait pas pris part à leur conversation. Encore un peu trop reservée, oui, peut-être. Après le dîner, Ginny avait passé sa soirée à lire un autre livre, mais cette fois sur un lit qu'elle occuppait dans la chambre d'un appartement dont elle ne connaissait même pas le numéro, juste l'emplacement, jusqu'à ce qu'elle s'endorme.

Le lendemain, les rayons du soleil traversèrent les fins rideaux qui recouvraient la fenêtre de la chambre, éclairant la pièce. Ginny ouvrit les yeux. Après avoir baillé un bon coup, elle se redressa et s'étira. Elle se leva, s'abaissa pour ramasser son livre tombé ouvert sur le sol pendant qu'elle dormait, et le posa sur la table de chevet. Elle se passa ensuite la main dans ses cheveux blonds en bataille, en baillant une nouvelle fois. Les matins, elle avait toujours un ma fou à se réveiller correctement et se préparer vite fait bien fait. Combien de fois ne s'était-elle pas réveillée en retard pour se rendre au lycée ? Des centaines ! Le seul avantage que semblait disposer cet immeuble, c'était le fait qu'on pouvait se lever à l'heure qu'on voulait. Enfin, temps que le fou furieux qui les avaient enfermés n'installe pas un réveil géant ( xD ). Ginny retira ensuite le bas de son pyjama pour se vêtir d'un jeans, et enfila un pull blanc, avec un petit logo au niveau de la poitrine qui représentait le drapeau américain, au-dessus de son haut de pyjama. Elle pourrait enfiler un haut plus adapté après le petit-déj, après tout.

Après s'être coiffée et passé de l'eau froide sur le visage pour se réveiller complétement, Ginny sorit de l'appartement pour emprunter les escaliers, afin de descendre jusqu'au rez-de-chaussée. En chemin, elle jetta un oeil sur son bracelet-montre. Il était presque 10 heures. Bon, et bien, le restaurant devait être plein. Enfin, disons qu'il devait y avoir beaucoup de monde en train de papoter, pour tuer le temps devant un bon croissant. Très peu pour Ginny. Prendre son petit déjeuné au milieu de beaucoup de gens qui parlent, franchement, ce n'était pas sa tasse de thé. Elle se dirigea donc directement vers les cuisines. Il y avait là une ou deux tables, ce qui conviendrait très bien pour un petit déj rapide. La jeune fille poussa les portes à double battants et pénétra dans les cuisines, endroit grand et peuplé d'instruments, conserves et fruits en tout genre posés sur les nombreux établis. Il y avait également des éviers, trois frigos et deux fours, afin de cuire son repas. Ils ne manquaient de rien, c'était déjà çà.

Il n'y avait personne.
Ginny attrappa un bol, le remplit de corn-flakes, puis ouvrit un frigo pour prendre une bouteille de lait. Puis elle partit s'assoir à une table, tranquillement, et commença à manger en regardant devant elle d'un air vague. Cela ne faisait que quelques minutes que la jeune fille était assise là que le bruit caractèristique de la porte à double battants qui s'ouvrait se fit entendre ...

[ Liiiibre Very Happy

]

Nombre de messages : 17 Age : 31 Date d'inscription : 02/04/2008

La nuit avait été longue pour Matt qui venait de commencé sa journée. Il se levât du lit, et allât à la fenêtre pour voir l'activité de la ville vue d'en haut. Quelque voiture passait, les marchands faisait les pub en hurlants et des types était apparemment entrain de se battre pour on ne sait qu'elle raison. " Enfin un peu d'action." pansa le jeune homme; mais très vite il se rendit conte que c'était une simple petite dispute entre potes; le genre de dispute qui dure une dizaine de secondes.
Il fît les cent pas dans la chambre puis s' arrêta; il regardât sa montre; il était à peu près 10 heures. Il ôta ses vêtement et pour le bien être de son corps fit quelque exercice après avoir avoir fait tout ce que l'on fait le matin; se laver le corps et les dents ... Ces exercices fini il se mit du déodorant, des vêtement propre et coups de parfum et partit pour la cantine.

En cours de route il croisa un groupe d'élèves écoutant de la musique, ce qui lui fît pensait qu'il avait oublier son lecteur MP3. L'élève de troisième fit demi-tour et parti dans sa chambre pour récupérer ce qui lui était vital.
Il retourna direction la cantine mais se trompa de chemin et entra dans la cuisine via la porte à double battants quand il s'aperçut qu'une jeune et jolie fille était déjà présente . . .

"Ça c'était pas prévu; bon tan pi. mon haleine et fraîche, je suis pas trop décoiffé, c'est bon. A non! faut que j'enléve les écouteurs." Pensa Matt.

Il enleva donc ses écouteurs et pénétra dans au coeur de la cuisine, un endroit banal, des frigo, un four... en tout ce qui est normal de trouver dans une cuisine. Il approcha de la jeune femme qui l'avait apparemment remarqué et sans plus attendre il débuta la conversation avec son aire charmeur; mais allait-il faire le poids face à une élève de classes supérieur ?

- Salut, ça te dérange pas si je m'assoit ici ? parce que les la cantine y a trop de monde et j' suis pas encore bien habituer à ce climat qui règne en maître.

Mathieu parti dans la cuisine et prit quelque pain au chocolat et croissant. Il avait remarquer que son interlocutrice n'avait pas l'aire d'être heureuse, enfin pas aussi jovial que le reste des prisonnier de cette immeuble de malheur; alors pour la faire sourire il lui raconta une petite blague gentillet comme à son habitude.

- Un jour, un croissant et n pain au chocolat étaient entrain de taper le discute, et soudain le pain au chocolat demandât au croissant " Pourquoi tu es en forme de lune" et là vexé le croissant lui a répondu " je t'ai demandé, moi pourquoi tu as de la merde au cul?"

Aucun signe de la part de la demoiselle; Mathieu prit un aire sérieux et se mit bien en face de la fille.

-Relax, on trouvera un moyen de sortir d'ici, ça prendre le temps qu'il faut mais on trouvera ...

"Enfin j' espère ..."

Ce qui réveilla David ce matin, c’était les rayons du soleil qui traverser les barreaux pour venir éclairer ça chambre. Il se levât de sont lit, et allât à la fenêtre pour voir se qui ce passait autour de lui. Les gens passer, regarder l’immeuble, mais personne pensait que nous étions enfermer. " Et bah ! Il y ne n’a qui on de la chance dans cette ville." Ce dit David. Il ce retira de la fenêtre et alla s’allonger sur le tapis pour faire c’est petit échauffement du matin (pompe, abdominaux, etc.…) Apres il se releva et marcha en direction de la salle de bain pour y faire le petit brun de toilette quotidien.
Il ressortit tout propre, comme si il était 2h de l’après-midi. . Il regarda ca montre qui indiquer 9h45 au cadran La faim au ventre, il se parfuma et sortit de ca chambre en direction du réfectoire.

Sur la route David descendit avec sont ballon de basket (il ne sen sépare jamais) le temps du chemin, soit il jongla, ou fit tourner le ballon sur sont doit, aux choix .En direction du restaurant, David passa devant les deux portes battantes de la cuisine, ce qui lui donna l’idée ce servir le petit déjeuner a la source. Quand il entrat dedans, il s’aperçu que des personne était déjà passer par ici.

Il s’approcha discrètement et par un des hublot des portes, il vit la très charmante Ginny, mais en regardant mieux, il vit un inconnu de troisième parler a Ginny, ce qui ne plut pas trop a
David, car David aimerait bien conclure avec Ginny depuis sa rupture avec son ex-petite amie.

Il se recoiffa, et au passage prit une pomme dans la paniette a fruit qui traîne Sur une des tables. Il approcha de Ginny et vit quelle n’était pas dans sa plus belle humeur. Quand le troisième eu fini sa phrase, David reprit derrière :

- Salut, Ginny, je ne te demande pas si tu va bien car a mon avis ce n’est pas le cas.

Et sans calculer Matt, David tira la chaise et s’assis a coter d’elle pour la réconforter.

-Ne te fait pas de souci, on n’est pas en danger, on n’a tout ce que l’on veut, a part qu’on est juste enfermer, mais ce n’est rien^^.
Alors c’est quoi ton problème ?

Nombre de messages : 17 Age : 31 Date d'inscription : 02/04/2008

Ginny semblé ne vouloir parlé a personne dans la mesure où elle restait inerte; elle devait avoir des problème où alors elle était c'était endormi sur la table. Le comportement qu'avait adopté le nouveau venu n'avait pas plue à Matt mais en enfermé dans un immeuble il ne fallait mieux ne pas se faire des ennemis trop vite.

-J'ai été content de faire ta connaissance.....

En effet, Mathieu ne connaissait pas le nom de David.

- J'espère que l'on se verra plus tard toi aussi Ginny

Le jeune homme se leva souriant et partit derrière les plans de travaille de la cuisine pour boire puis il regardât du coin des yeux Ginny qui avait perturbé son esprit. En même temps qu'elle personne masculine et hétérosexuel ne serait pas attiré par Ginny?
Mathieu un dernier regard et Mathieu se plongeât dans l'univers de la musique; les plus grand tube du rock; nirvana; les red hot; ACDC; tous étaient dans son Mp3 et encore plein d'autre, mais les morceau qu'il écouté les plus était Linkin Park ou Sonatra Arctica. Il ouvrait la porte a double battant et sortit de la cuisine n'oubliant pas la rayonnante Ginny.

*Fiou, j'ai bien faillir m'endormir; mais qu'est-ce qu'elle avait, on est tous dans la même situation mais elle semble complètement déboussoler, enfin se ne sont que des impression ...*

- Bon allons chercher de la bonne compagnie maintenant…

Invité

( Wah la vache le retard, pardooooon >_______< )

Alors que Ginny machônnait ses céréales d'un air absent, la porte à doubles battants des cuisines s'ouvrit donc, et un garçon entra. Il s'approcha, mais il fallut un certain temps à la jeune fille pour le remarquer. Incroyable quel effet çà lui faisait, d'être enfermée dans cet immeuble, à elle. Comme si elle était décrochée du monde. Seulement, la voix du garçon, qui semblait avoir à peu près son âge mais qu'elle n'avait pas vu au lycée - peut-être avait-il redoublé ? - la tira de ses rêveries :

- Salut, ça te dérange pas si je m'assois ici ? Parce qu'à la cantine, y a trop de monde et j' suis pas encore bien habitué à ce climat qui règne en maître.

Ginny se contenta d'hocher la tête.
Oui, elle comprenait, et oui, elle était d'accord.
Le jeune homme alla se chercher un pain au chocolat et un croissant, puis il revint. Ginny essaya de sortir de son mutisme, mais à vrai dire, elle ne svait mêem pas quoi dire pour le moment. Peut-être une autre fois, un autre jour ... Toujours est-il qu'elle devait vraiment avoir un air super mélancolique ou triste pour que le garçon se mette à blaguer, sûrement pour détendre l'atmosphère. Sauf que sa blague, Ginny la trouva lourde, et elle ne rit pas. A vrai dire, elle n'aurait même pas réagit à la meilleure blague du monde à cet instant. Mais flûte alors, elle allait lui faire peur, à ce garçon ! Ou le faire fuir, carrément. Comme elle ne répondait pas, le garçon prit un air sérieux et lui annonça de but-en-blanc qu'ils trouveraient bien un moyen de sortir, un jour ou l'autre ... Là encore, Ginny ne répondit pas. Elle se contenta d'ouvrir de grands yeux. Pourquoi ? Et bien parce qu'elle commençait à se demander si tout le monde dans cet immeuble allait finir par deviner son état d'esprit par rapport à cette situation ... Son état tranparaissait-il tellement sur son visage ? Flûte alors. Mais au moment où elle allait répondre au garçon, la porte des cuisines s'ouvrit de nouveau. Un autre gaçon entra, mais celui-ci, Ginny le connaissait, car il était dans sa classe. Il s'agissait de David Wright. Il débarqua vers Ginny et le garçon, en prenant au passage une pomme, tira une chaise et s'asseya à côté de Ginny. Et là, comme l'autre garçon, il sembla parfaitement deviner qu'elle allait mal, la Ginny.

- Salut, Ginny, je ne te demande pas si tu va bien car a mon avis ce n’est pas le cas.

Là encore, Ginny n'eut rien le temps de répondre que le garçon enchaînait :

- Ne te fait pas de souci, on n’est pas en danger, on a tout ce que l’on veut, a part qu’on est juste enfermés, mais ce n’est rien. Alors c’est quoi ton problème ?

Personnellement, la jeune fille blonde ne trouvait pas qu'être enfermés, " ce n'était rien " mais elle n'allait pas le conredire. Elle ne mangeait plus, se contentant de tourner sa cuillère dans son bol, en décidant cette fois de prendre enfin la parole. Sauf que le premier garçon décida de s'en aller à ce moment-là. Il les salua tous les deux, Ginny et David, puis s'en alla, en prenant ses écouteurs de son mp3. Alors qu'il disparaissait par les portes à double battans, Ginny se tourna vers David et prononça enfin sa première phrase de la journée :

- Il a dû me trouver bizarre, je ne disais rien.